Doit-en encore en parler ? De quoi diriez-vous ? De la canicule, pardi ! Ou plus précisément de l’accueil des plus chaleureux réservé en permanence au peuple tunisien depuis des semaines déjà par sa « Majesté » l’été de toutes les canicules. On en souffre, on en meurt, on n’en peut plus ! A nous l’équipe du Guinness Book ! Pour enregistrer sur place et illico presto, notre pénible résistance à la fournaise ! C’est pour de vrai et pas du tout orchestré ou « fait-main. » Notre été a tenu, encore une fois, à nous taquiner à son aise et bonjour et bonsoir les dégâts ! Sachant que la chaleur est diurne et nocturne, à la fois. Il semblerait que la saison d’été nous aime à mourir faisant valoir toutes ses prouesses à nous suffoquer…d’amour ! Le résultat est parfois un spectacle désolant avec des bouteilles en plastique de tout format qui trainent sur les trottoirs et les chaussées, car ayant servi à contenir l’eau minérale consommée à satiété par les citoyens à l’occasion. Ces derniers les ont tout simplement jetées là et non dans les poubelles et autres containers. La chaleur aura-t-elle fait perdre la tête à ces citoyens ? Qui, répétons-le, devraient savoir que la rue est également leur chez soi et non un lieu à traverser au plus vite, quitte à le rendre sale, s’il le faut ! Une autopunition que se flanquent nos chers citoyens, alors qu’ils devraient en avoir honte aujourd’hui et faire montre d’un esprit réellement citoyen. Ajoutez à cela le temps chaud qui règne à ne plus s’arrêter. La boucle est ainsi bouclée pour une mauvaise salubrité, plutôt et malheureusement ! Laissez-nous, au moins, combattre les effets de la chaleur sur notre environnement et notre organisme
